Très épurée ! Juste une petite avancée de pierres, utile à la retenue du sable. Presqu’île de Gâvres, on aperçoit la « Pointe des chats » à l’horizon sur la droite.

Sans doute ma toute première pose « très » longue. Les nuages, en côte sud Bretonne, ne se déplacent que très rarement du nord au sud (ou l’inverse) et ainsi obtenir un « filé » avec le meilleur rendu.

En noir et blanc cette fois; je n’y prête pas assez attention, mais toutes les images ne sont pas faites pour être ainsi traitées; c’est juste mon avis…

Un vent à décorner les …bœufs ; je me suis mis un peu à l’abri des rochers, le plan était donc une évidence. Il me tarde de pouvoir vous faire partager d’autres instants de mes « excursions »…

Chaque jour, chaque saison, chaque heure imprime sa marque.

J’ai gardé un regard d’enfant découvrant pour la toute première fois ces immensités, alors moi aussi j’imprime !

Dans l’esprit je ne devrais pas vous faire part de cette préférence mais je crois que s’il m’est moins pénible de me lever, alors même que le soleil ne semble pas être encore décidé à pointer le bout de son nez, c’est pour « ferrer » ce genre de poisson… Douceur, transparence, sobriété, limpidité, rondeur; presque l’envie de caresser l’image, non ?

« Grosse qui pète » sur coucher de soleil en arrière plan (ce ne sont pas les plus imposantes qui sont les plus spectaculaires). Doëlan.

En fait, avec le temps, je ne vois plus la licorne…

Une balise en sortie de rade de Lorient.

Depuis la plage aux pieds de la citadelle de Port-Louis; 18/200 ( sur Nex6 à l’époque encore) « déployé à fond » et ND8 sur ND1000

Fichier RAW que j’ai développé sur Lightroom 6 (version logiciel sur CD); je ne sais plus qui a écrit : « le commerce c’est la chasse, la pêche et la cueillette; l’abonnement c’est de l’élevage ! »

Je vous assure que le ciel avait réellement ces tons ! Axe de la photo : plein sud. Soleil levant légèrement sur la gauche, derrière moi. Suivant les saisons, l’astre de lumière ne se lève pas toujours au même endroit, il faut en tenir compte dans ses projets de photos.

Un premier janvier, lendemain de coup de tabac, Doëlan, je n’étais pas le seul à contempler l’océan; cette jetée est un haut lieu de ce que j’appelle « la grosse vague qui pète », Lomener en est un autre.