La « Marie Simone » ou V729 ?

Mon but premier était de photographier la jetée et lors de cette flânerie j’ai découvert cette épave (plus d’infos içi), une surprise, une chance (serais-je béni des dieux ?); je ne m’étais même pas rendu compte que grande marée il y avait…

Elle apparaît, disparaît en fonction des coefficients, des mouvements de sable. J’ai trouvé étrange que son hélice, en bronze certainement, soit toujours en place. Une idée ?

Juste pour le plaisir de l’image et du rouge, symbole, en Asie, de chance et de bonheur.

Un panneau était accroché au vélo, sur lequel il était écrit : « Vélo du facteur faisant la tournée d’Etel et du Magouër, avant le pont… », un truc comme ça.

Plongeur, coureur, mais aussi facteur de fond.

Piège un jour, piège toujours. En aucun cas je ne souhaite jeter la pierre (ni la première, ni la dernière) à ceux qui vivent de la pêche; le sixième continent est loin de n’être constitué que d’amalgame de fils et de filets, bien au contraire. Nuance(s) devrait être le maître mot de notre société; c’est pas gagné !

Sur le flanc, mais pas en corps-mort.

Près serré, grand largue, vent arrière, à chacun son allure, sa vitesse (ça n’est pas forcément la même chose); le tout est qu’un jour l’on se rencontre, à défaut que l’on se croise; un port peut en cacher un autre…

A l’image de ces cordages, faut-il que l’amour soit bien ordonné (lové) ?

Vous avez deux heures !

Bois flotté. Bois flotté. J’aime ces mots, plus encore lorsqu’ils sont associés. Très poétique, ça fait rêver; fiable et solide comme le bois, tout en flottant vers là où le courant porte… Soupirs !